Ce jeudi 26 février, près de 1 500 personnes se sont rassemblées devant le stade Vélodrome à Marseille, qui a été illuminé en orange pour l’occasion.
Voici pourquoi.
Près de 1 500 personnes rassemblées
Près de 1 500 personnes ont répondu présents à l’appel au rassemblement lancé par le Crif Marseille-Provence, en mémoire à la famille Bibas et à Oded Lifshitz, otages israéliens décédés à Gaza.
À cette occasion, plusieurs personnalités politiques se sont jointes à l’événement, dont Benoît Payan, le maire de Marseille, Martine Vassal, présidente de la métropole Aix-Marseille, ou encore Catherine Pila, présidente de la RTM.
Le Vélodrome éclairé pour l’occasion
Dans la foule, l’orange était largement présent, que ce soit sur les vêtements des participants ou sur les ballons brandis en hommage aux otages israéliens. Mais ce symbole ne s’arrêtait pas là : à la demande du Crif et avec le soutien, notamment, de la Région, le stade Vélodrome s’est également illuminé de cette couleur pour marquer cet hommage, apprend actu Marseille.
L’initiative ne s’est pas limitée à Marseille. Selon les informations du Parisien, 52 mairies, dont l’Hôtel de Ville de Paris, ont accepté l’appel du collectif 7 octobre et ont illuminé leur façade en orange.
Certaines villes, comme Lyon, ont néanmoins décliné la proposition, invoquant un « principe de neutralité » face au conflit israélo-palestinien, qui a déjà causé 1.218 morts en Israël et 48.319 en Palestine, d’après les dernières estimations fournies par les deux camps.
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