la cour d’appel de Paris envisage un procès avec « décision à l’été 2026 »

« Une décision politique pour m’empêcher d’être élue présidente » : au JT de 20 h de TF1 lundi soir, Marine Le Pen n’a pas mâché ses mots après sa condamnation dans l’affaire des assistants « fictifs » du FN au Parlement européen.

Elle n’a pas hésité à charger au passage le travail des magistrats, indiquant ne pas faire « confiance » dans la date de l’appel qui pourrait survenir « après la présidentielle » et remettre en question la « légitimité » de l’élection. Des interrogations auxquelles a répondu la justice.

Ce mardi 1er avril 2025, la cour d’appel de Paris a indiqué dans un communiqué qu’elle envisageait un procès avec « une décision à l’été 2026 ».

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