Il était aux alentours de 20h, ce jeudi 20 février 2025, lorsque la police nationale de Nîmes a interpellé un automobiliste. Ce qui devait être une simple arrestation se concluant par une amende pour avoir grillé un feu rouge a finalement basculé sur une affaire d’usurpation d’identité sordide pour les forces de l’ordre.
En garde à vue pour usurpation d’identité
L’incident plutôt bénin à la base s’est produit sur le boulevard des Français libres à l’est de Nîmes. Procédant au contrôle de l’automobiliste, les policiers lui demandent son permis de conduire.
L’homme de 35 ans obéit et présente alors la fameuse carte rose. Mais après une rapide vérification, les forces de l’ordre constatent que le permis de conduire n’est pas le sien, qu’il n’en possède plus et que celui présenté… appartient à son frère qui est mort.
Embarqué pour usurpation d’identité et « conduite malgré une annulation de son permis de conduire » selon le rapport de la police nationale, le fautif a été placé en garde à vue. Durant cette dernière, l’automobiliste a plaidé coupable, mais il devra tout de même se présenter devant le Tribunal Correctionnel de Nîmes pour expliquer ses actes.
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