Et voilà, l’aventure du Stade Briochin (Côtes-d’Armor) en Coupe de France a pris fin.
En quart de finale, Guillaume Allanou, son staff et ses joueurs sont tombés avec les honneurs face à un PSG en mode rouleau compresseur. Qui aurait pu les stopper ?
Même le séduisant Lille OSC de Bruno Génésio a reçu une gifle au Parc des Princes, samedi.
Dans le rétro
Quand je regarde dans le rétro de cette saison, je repense à ces moments vécus à Fred-Aubert. Du match houleux face à Saint-Malo, aux exploits contre Le Havre, Annecy, puis Nice.
Tout le monde a vibré lorsque Stan Janno a placé un coup de casque rageur en 32e de finale.
Tout le monde s’est époumoné quand Hugo Boudin s’est retrouvé en position de marquer après une course folle. Il y a même un collègue qui était à deux doigts de pied de monter sur la table.
Enfin, tout le monde a profité du dernier coup de collier de Christophe Kerbrat.
Au Roazhon Park
Parmi tout ce monde, il y avait moi. Jeune journaliste qui a réalisé son rêve de gosse en intégrant une rédaction. Je ne remercierai jamais assez les acteurs du Stade Briochin de m’avoir permis de vivre cette aventure.
Passionné par le football et amoureux de la Coupe de France, je n’aurais pu rêver mieux.
Sur la route du Roazhon Park, je me suis lié d’amitié avec un ultra du PSG (jamais je n’aurais cru écrire cela un jour) pris en covoiturage depuis Lamballe.
J’ai approché de très près la classe de Marquinhos et pu faire signer mon maillot par le géorgien Khvicha Kvaratskhelia (que j’ai réussi à écrire sans tricher).
Le Stade Briochin a dorénavant une place toute particulière dans mon cœur et je lui souhaite le meilleur.
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