Le centre-ville de Metz (Moselle) compte à présent trois locaux à déchets.
Après les ouvertures des points de collecte fermés dans les rues Haute-Seille et Serpenoise en 2023, c’est au tour de la Fournirue d’être équipée.
320 habitants et commerçants concernés
Ce nouveau local à déchets a été inauguré ce mardi 4 mars 2025 en présence de François Grosdidier, maire de Metz et président de la Métropole, ainsi que de Martine Nicolas, adjointe au maire chargée de la propreté urbaine.
Installé dans l’ancien local d’un magasin d’optique, 21 En Fournirue, ce nouvel équipement sécurisé et entretenu est à la disposition d’environ 320 habitants et commerçants du secteur. Ils peuvent y accéder, quand ils le souhaitent, grâce à un badge.
Le point de collecte à l’air libre va bientôt disparaître
Avec l’arrivée de ce nouveau local à déchets En Fournirue, les habitants et commerçants du secteur vont dire « adieu » au point de collecte à l’air libre, installé provisoirement à l’angle de la rue de Ladoucette, le long du magasin de bougies parfumées (anciennement Comtesse du Barry).
Ce point de collecte sera retiré lundi 10 mars prochain.
Objectif : ne plus voir une poubelle dans le centre-ville
François Grosdidier a rappelé les bienfaits de ces locaux à déchets : donner de meilleures conditions de travail aux agents et ne pas voir de poubelles, souvent éventrées, par terre.
L’objectif du maire est de « ne plus avoir un sac apparent dans tout le centre-ville » dans le « meilleur délai ». Ce qui représente un « investissement colossal ».
D’autres locaux à déchets à venir
Et la suite ? En janvier dernier, Martine Nicolas confiait à Lorraine Actu que d’autres locaux à poubelles seront aménagés dans le centre-ville, là où il n’est pas possible d’installer un point d’apport volontaire enterré (PAVE).
Sur le court terme, la rue Puhl-Demange aura son local à déchets à l’été/début de l’automne. Pour le reste, il faudra être un peu patient : « Nous sommes en train de travailler sur les hauts de Sainte-Croix et rue Dupont-des-loges. Il restera la place Saint-Jacques, c’est encore à l’étude », nous disait l’élue.
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