Ces retrouvailles étaient dans l’air depuis quelque temps. Jérôme Laurent a longtemps porté les couleurs de l’Espoir Loupiacais, le club de Loupiac-de-La-Réole, en Gironde, cher à son père Jean-Marc. Avant qu’il ne prenne la suite de la présidence, après les années 2000.
Week-end retrouvailles
« Et si on organisait des retrouvailles d’anciens joueurs ? », questionne l’actuel président du Pays Aurossais. L’idée est lancée.
Ensuite, un groupe d’une quinzaine de personnes se constitue pour organiser ces retrouvailles, prévues le dimanche de Pâques (20 avril), à partir de 10 h du matin, et tard dans la soirée, sur fond de convivialité.
Un repas est prévu le midi et le soir et tous les anciens joueurs et joueuses sont attendus. Au programme : échange de souvenirs ou de photos pour les anciens en vert et bleu de l’Espoir Loupiacais.
Un président passionné
Jérôme Laurent est un passionné de foot et de vie associative sur son territoire, où le ballon rond est bien représenté.
Jouer dans un club, c’est garder une identité et représenter son territoire.
L’ancien stoppeur de l’espoir Loupiacais a évolué avec son club en 2e division district. Et puis, l’association sportive a quitté définitivement la compétition.
Jérôme Laurent rejoint alors le club de Pondaurat qui deviendra en juin 2019 le FCPA, Foot du Pays Aurossais, associant les communes voisines d’Auros, d’Aillas, de Pondaurat et de Savignac.
Rester créatif
« J’essaie de rester positif, d’aller de l’avant en fonction des époques. Pendant deux ans, le COVID nous a empêchés de fonctionner normalement et ma volonté, c’était de recommencer dans les meilleures conditions possibles. Club et entreprise, même combat », fait-il valoir.
« Dans nos villages, il faut que tous ensemble, nous comprenions l’intérêt de la vie associative, le passage de témoin entre les générations est indispensable pour continuer d’avancer », poursuit-il.
Les terrains impactés
Autre souci qui travaille le président : les terrains de foot du FCPA, qui accueillent près de 200 licenciés pour les matchs et les entraînements, sont particulièrement impactés avec ces périodes pluvieuses. Il faudrait bientôt réfléchir à des équipements adaptés aux conditions climatiques.
La question est posée. Sera-t-elle évoquée lors des retrouvailles du 20 avril ? Réponse lors d’un moment de grande nostalgie heureuse.
Source link
