Arthur Vaugeois fait partie de la famille des Jaunes depuis l’été 2024. Aux côtés de Mahaut Gombrowicz, il est l’une des deux recrues de l’intersaison de l’ambitieux projet du Club alençonnais de badminton (CAB 61), qui vise la montée en Nationale 1.
À 18 ans, le changement
Né le 8 novembre 2006 à Lisieux, dans le Calvados, le jeune homme a tout juste 18 ans. L’été dernier a marqué un tournant dans sa vie : bac en poche, découverte du cursus universitaire en filière Staps à Rennes et nouveau club de badminton. En effet, il a répondu favorablement à la demande de Yann Lemesle de rejoindre Alençon, pensionnaire de N2.
Arthur Vaugeois est un sportif, un passionné. Jouer, briller autant que possible, perdre le moins possible avec, toujours, l’ambition de faire mieux. Et s’il excelle dans le bad, il s’est essayé aussi à d’autres disciplines. « De mes 6 à 12 ans, j’ai pratiqué le handball et la natation. Je faisais les deux en même temps. Je faisais du bad, aussi, mais j’ai dû faire un choix. » Celui-ci s’est porté vers la raquette et le volant. « En choisissant le bad, j’ai arrêté les deux autres. »
Un choix fort et qui se révèlera payant au regard de sa trajectoire. Le néo-Alençonnais rembobine :
Mon premier club était Saint-Pierre-sur-Dives (Calvados). J’y ai joué quatre ans. Après, j’ai joué aussi quatre ans au PAB, le Pays d’Auge Badminton. C’est un regroupement de clubs entre Lisieux, Livarot et Moyaux.
Avant le CAB, il aura défendu les couleurs de Dives-sur-Mer pendant trois ans.
Alençon pour la N1
Pourquoi être venu à Alençon ? « Car le projet m’a plu. J’ai pour objectif de jouer en Nationale 1. Yann m’a dit que le club avait pour objectif de monter en N1. Le club est super et je connaissais des personnes du club. »
Et de conclure sur ses objectifs : « Mes objectifs personnels sont de performer sur les tournois nationaux et internationaux et de prendre un maximum de place au classement français. Avec Alençon, aller aux play-offs pour avoir l’opportunité de jouer en Nationale 1. »
Prochain match : Alençon – Cholet, samedi 8 février à 16 h 30, gymnase Alice-Milliat.
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